Entre croissant au beurre, sardine et café crème au coin de la rue Jeanne d'Arc, posée sur cette terrasse, chaise en osier, le sourire du serveur, sa moustache lui donnant une sagesse certaine, il se noie dans mes yeux couleur marron et me chuchote de me battre pour l'amour. Le culot, au bord des lèvres. Nuance dévergondée. Je le répands à ma sauce. Ça commence ici.
RIEN D'ORDINAIRE.
DU crémeux en bouche.
un morceau de toi. De moi.
Imagine-toi. Au bord de la piscine ou bière-pong au bar d'en face. Le barman improvise un morceau de piano. Son regard pénètre le tien. Il glisse ses doigts dans tes cheveux avant de te dévorer toute crue. Du cru en bouche. Des paillettes sur tes paupières. Broderie fine et haute couture. Chaque haut de corps raconte une histoire. La tienne. Pour penis ou vulve. Pour les coeurs abîmés qui ont soif de vivre, en dépit des méchants loups. Une vie tout sauf banal. De transgression. De baume à lèvres. Mon histoire est un mélange de. Un jour, mon prince viendra sur son tapis volant. Il comprendra que mes cicatrices ont un genre à part. Pour le moment, il se trouve au rayon biscuit. Moi. Je veux changer ton monde. À ma sauce béchamel.
Viens, je te fais baver encore. Il était une fois. Une histoire. Le fruit abricot de mon imagination. Réel un peu quand même. On reprend avec. Imagine-toi. Ton haut de corps déjà sur toi. Ton short, espadrille en toile marron, casque de moto à la main, une paire de Rayban, tu la croises, la couleur de ses yeux chocolat sauvage (son regard intense) t'enivre. Elle semble être une créature mystique. Une sirène. Envoûtante. Tu caresses sa main, tu la pousses dans la cabine d'essayage. À trois mètres au-dessus du ciel. Pas pour enfiler des perles ou des colliers de nouilles pastel. Elle finit chez toi. Ta main sur sa gorge. Elle voudrait te revoir pisser la porte ouverte. Bref. Moi et mon rouge orange corail qui déborde des lèvres, on te suggère de remplir ton vestiaire de mes famous haut de corps.
du jus de lait. chupitos et beignets.
Colle-moi contre le mur des chiottes. Enfile-moi chaque jour, chaque nuit. Ivre d'amour. Effet gueule de bois. Cigare et whisky en bouche. Pulsion. Adrénaline, excitation. Des nuances de contradictions. C'est l'heure d'un bon goûter. À toi, tout.e seul.e, tu es (tu vas devenir) une eau de parfum. Intrépide. Nature insolente. Enivrant.e.
PAS DE RISQUE. PAS D'histoire.
L'insolence te (me) va bien.
banane flambée
l'eau à la bouche. café frappé.
Voilà l’histoire. J’ai pensé à Blanche Neige. Dans son cercueil. Le baiser d’un prince charmant sorti de nulle part. Moi le seul prince que je connais se trouve au beau milieu du supermarché. Lui, ce haut de corps, haute couture, rien d’ordinaire, du crémeux en bouche est ta promesse d’un pour toujours. Tu voudras l’enfiler chaque matin. Café serré. Croissant au beurre. Avec ta culotte coton ou slip caleçon. Parce que. Prêt.e ou non. Tu veux une vie tout sauf banal. Des éclats de rire, de la séduction au petit-déjeuner, des nuits d’ivresse. Bain moussant et frites burger au coin du lit pour se rassasier de ses heures de sueurs. Libre. Sauvage. Intense. Le cœur qui cogne. Des paillettes sur tes paupières. L’insolence te (me) va bien. Te colle à la peau. Et puis, je m’appelle Marine.
LUI. il sera là. dÈS LE DÉBUT.
Après ton bain de pluie.
TAILLE XS AU XXL | HAUT DE CORPS UNISEXE | POUR PENIS ET VULVE
J’écris des Bahamas. Chaise longue et Piña colada. Le maître nageur vient d’enduire mon dos de crème solaire. Derrière la marque, les (famous) haut de corps, il y a mon visage et une histoire. Ok. Ça m’a cassé les ovaires (supplément larmes de croco) de l’écrire. On veut tous connaître les dessous. La vie en apnée et masque tuba, c’est fini. Promets-moi de la vivre intensément. Jouir d’amour, de plaisir et d’eau fraîche.
La collection capsule. Banane flambée. Haut de corps en sérigraphie. De la haute couture. Encore. Tout est parti d'une simple question. Tu te sens comment. Réponse. Je pars en couille. Jamais rassasié de te voir sourire, rire, jouir. Une nuit d'été, barbecue et merguez pour créer ça. Toi, là, tout de suite, tu as envie de tout quitter pour m'enfiler chaque jour.
Derrière ça, il y a moi. Marine. Une sirène, jeune créatrice et égérie de la marque Café Crème. Des cheveux ondulés. Une culotte mouillée. Pas seulement. Il y a un autre visage qui sort de sa garçonnière. Il se cache de l'autre côté du miroir. Son prénom. Il en a dans le caleçon. Le genre Batman. Sans supplément oignon. Son rôle dans tout ça. Gommer les angoisses nocturnes. Des rires quand le mascara dégouline. Du beurre de cacahouète et de l'adrénaline à trois mètres au-dessus du ciel.
Prends-moi comme je suis. Un jour, on te dira. Tu n’es pas seul dans tout ça. Tes moments de (grand) sourires, tes fous rires, ta folie, sa folie, tes larmes de crocodile. Ta sensibilité. Ton insolence. La sienne. Ton regard qui pue la sensualité. Ces fragments d’excès de confiance et cette voix dans ta tête « parce que je le vaux bien, me faites pas chier ». Merci l’Oreal.
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